Publicado el 25-09-2009 por Juan Huichal.
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Des Cannibales - Michel de Montaigne
Des Cannibales : Le chapitre XXXI du Livre I des Essais est un texte fondateur du mythe du “bon sauvage”. Considérant les indigènes d’Amérique, Montaigne ne les trouve en rien barbares et tente de démontrer qu’ils nous surpassent en bien des points, de sorte que ce sont les Occidentaux qui apparaissent comme des barbares comparés à eux. Mais si l’on voit dans ce texte un plaidoyer pour les cannibales, on doit être sensible à la volonté de l’auteur de renverser un préjugé : si ces sauvages sont des barbares, nous-mêmes les surpassons en toute sorte de barbarie. Livres audio gratuits à écouter et télécharger sur litteratureaudio.com
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Parlamento de Paicaví
Parlamento de Paicaví
Un des premiers parlements entre espagnoles et mapuches. (Cet accord n'a pas revêtu de formalité juridique dans un acte, elle est seulement connue par des lettres et journaux de personnes de l'époque) Alonso de Ribera convoque le 9 décembre 1912 à une assemblée de paix à Paicavi proche de Lumaco, où les lonkos Angcanamün, Tereulipe et Aynavilu assistent à l'assemblée pour accomplir un protocole de paix.
Diego de Rosales, décrit que "le père Valdivia parlait avec éloquence et avec une grande rhétorique et douceur pour convaincre les mapuches afin de traîner les cœurs des fauves plus endurcis que les pierres". Son parlement dura 3 heures: la première par lui, les autres par son interprète", extrait de son écrit.
Le père Valdivia promet la destruction du fort de Paicavi, le cadeau d'embarcations annexes et de la libération des mapuches du service de personnel; en échange ils devaient accepter la paix et à deux missionnaires il étaient entre eux dans le travail d'évangélisateurs et qui pouvaient annoncer a Angcanamün que dés que ce serait possible il s'occuperait de sa réclamation au sujet de la restitution de ses femmes.
Se poursuivirent toutes les cérémonies de ce style pour la célébration de la paix. Les indiens sont restés tout le jour dans cet endroit au milieu des fêtes avec lesquelles le pacte était fêté. Le père Valdivia a ordonné que des provisions abondantes et quelques autres cadeaux fussent distribués.
Pour leur démontrer la sincérité des offrandes qui leur avaient fait, dans l'après-midi même un principe a été donné pour la démolition du fort de Paicavi. Pendant ce temps, ils restaient des motifs pour se méfier de l'utilité et de l'efficacité de ceux qui bien qu'ils eussent une intention sérieuse de faire la paix, leur action ne pouvait exercer une influence décisive sur l'achèvement de la guerre, puisque les tribus n'avaient pas de cohésion de nationalité ni un centre d'autorité qui était respecté par toutes.
Traduction : Julia Jolly
Uno de los primeros parlamentos entre españoles y mapuches. (Este acuerdo no revistió formalidad jurídica en acta, solo es conocida por cartas y diarios de personas de la época) Alonso de Ribera convoca el 9 de Diciembre de 1612 a una junta de paz en Paicaví cercano a Lumaco, en donde los lonkos Angcanamün, Tereulipe y Aynavilu asisten a la junta para cumplir un protocolo de paz.
Diego de Rosales, describe que “el padre Valdivia hablaba con elocuencia y con gran retórica y dulzura para convencer a los mapuche para así arrastrar los corazones de las fieras mas endurecidas que las piedras”. Duro su parlamento tres horas: la primera por sí, las otras por su interprete”, extracto de su escrito.
El padre Valdivia promete la destrucción del fuerte de Paicaví, el regalo de embarcaciones anexas y la liberación de los mapuche del servicio de personal; a cambio debían aceptar la paz y a dos misioneros estuvieran entre ellos en labores evangelizadoras y que podían anunciar a Angcanamün que en cuanto fuera posible se atendería su reclamación respecto a la devolución de sus mujeres. Siguiéronse todas las ceremonias de estilo para la celebración de la paz. Los indios quedaron todo el día en aquel sitio en medio de las fiestas con que se festejaba el pacto. El padre Valdivia mandó que se les repartiesen abundantes provisiones y algunos otros obsequios.
Para demostrarles la sinceridad de los ofrecimientos que se les habían hecho, en esa misma tarde se dio principio a la demolición del fuerte de Paicaví. Mientras tanto, sobraban motivos para desconfiar de la utilidad y de la eficacia de aquellos que aunque tuvieran un propósito serio de hacer la paz, su acción no podía ejercer una influencia medianamente decisiva en la terminación de la guerra, ya que las tribus no tenían cohesión de nacionalidad ni un centro de autoridad que fuera medianamente respetado por todas ellas.
Aporte de Yesenia Melinao
Un des premiers parlements entre espagnoles et mapuches. (Cet accord n'a pas revêtu de formalité juridique dans un acte, elle est seulement connue par des lettres et journaux de personnes de l'époque) Alonso de Ribera convoque le 9 décembre 1912 à une assemblée de paix à Paicavi proche de Lumaco, où les lonkos Angcanamün, Tereulipe et Aynavilu assistent à l'assemblée pour accomplir un protocole de paix.
Diego de Rosales, décrit que "le père Valdivia parlait avec éloquence et avec une grande rhétorique et douceur pour convaincre les mapuches afin de traîner les cœurs des fauves plus endurcis que les pierres". Son parlement dura 3 heures: la première par lui, les autres par son interprète", extrait de son écrit.
Le père Valdivia promet la destruction du fort de Paicavi, le cadeau d'embarcations annexes et de la libération des mapuches du service de personnel; en échange ils devaient accepter la paix et à deux missionnaires il étaient entre eux dans le travail d'évangélisateurs et qui pouvaient annoncer a Angcanamün que dés que ce serait possible il s'occuperait de sa réclamation au sujet de la restitution de ses femmes.
Se poursuivirent toutes les cérémonies de ce style pour la célébration de la paix. Les indiens sont restés tout le jour dans cet endroit au milieu des fêtes avec lesquelles le pacte était fêté. Le père Valdivia a ordonné que des provisions abondantes et quelques autres cadeaux fussent distribués.
Pour leur démontrer la sincérité des offrandes qui leur avaient fait, dans l'après-midi même un principe a été donné pour la démolition du fort de Paicavi. Pendant ce temps, ils restaient des motifs pour se méfier de l'utilité et de l'efficacité de ceux qui bien qu'ils eussent une intention sérieuse de faire la paix, leur action ne pouvait exercer une influence décisive sur l'achèvement de la guerre, puisque les tribus n'avaient pas de cohésion de nationalité ni un centre d'autorité qui était respecté par toutes.
Traduction : Julia Jolly
Uno de los primeros parlamentos entre españoles y mapuches. (Este acuerdo no revistió formalidad jurídica en acta, solo es conocida por cartas y diarios de personas de la época) Alonso de Ribera convoca el 9 de Diciembre de 1612 a una junta de paz en Paicaví cercano a Lumaco, en donde los lonkos Angcanamün, Tereulipe y Aynavilu asisten a la junta para cumplir un protocolo de paz.
Diego de Rosales, describe que “el padre Valdivia hablaba con elocuencia y con gran retórica y dulzura para convencer a los mapuche para así arrastrar los corazones de las fieras mas endurecidas que las piedras”. Duro su parlamento tres horas: la primera por sí, las otras por su interprete”, extracto de su escrito.
El padre Valdivia promete la destrucción del fuerte de Paicaví, el regalo de embarcaciones anexas y la liberación de los mapuche del servicio de personal; a cambio debían aceptar la paz y a dos misioneros estuvieran entre ellos en labores evangelizadoras y que podían anunciar a Angcanamün que en cuanto fuera posible se atendería su reclamación respecto a la devolución de sus mujeres. Siguiéronse todas las ceremonias de estilo para la celebración de la paz. Los indios quedaron todo el día en aquel sitio en medio de las fiestas con que se festejaba el pacto. El padre Valdivia mandó que se les repartiesen abundantes provisiones y algunos otros obsequios.
Para demostrarles la sinceridad de los ofrecimientos que se les habían hecho, en esa misma tarde se dio principio a la demolición del fuerte de Paicaví. Mientras tanto, sobraban motivos para desconfiar de la utilidad y de la eficacia de aquellos que aunque tuvieran un propósito serio de hacer la paz, su acción no podía ejercer una influencia medianamente decisiva en la terminación de la guerra, ya que las tribus no tenían cohesión de nacionalidad ni un centro de autoridad que fuera medianamente respetado por todas ellas.
Aporte de Yesenia Melinao
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